Elle peut divorcer, intenter un procès pour récupérer les biens du ménage et gagner ce procès, ce qui ne l'empêche pas de se remarier.
En se mariant, la femme égyptienne garde son nom, au plus ajoute-t-on « épouse de X » ; cela est d'autant plus naturel que le mariage semble ne pas se traduire par une manifestation administrative, ni par une manifestation religieuse ; il concrétise souvent la volonté d'un homme et d'une femme de vivre ensemble.
L'homme doit garantir le bien-être de son épouse, y compris sur le plan matériel.
Sources : ici